Le mouvement ne pouvant être perpétuel, suggère ainsi son antithèse, l’immobilité.


Je réduis ici le corps à un fragment, un sujet d’étude enfermé entre deux plaques de verre. Une empreinte, une suggestion. Plus métalliques qu’organiques, ces corps posent la question de l’eugénisme en parallèle de celle du handicap. On y retrouve le contraste entre rigidité des socles et fragilité des suspensions. 


Massifs et frêles, opaques et translucides, immobiles et mobiles, ces travaux questionnent les paradoxes d’un corps à la matière changeante et aux frontières indéfinies.


( Série réalisée en 2017 )